Maispar-dessus tout, je ne veux pas être papa ! Un ami m’a dit une phrase hier pour que je ne me pose plus la question : « tu es déjà père ! ». Alors je le prends sous l’angle du
Publié le 06 février 2021 à 19h00 J’ai testé le massage du périnée en couple - © PeopleImages / iStock Quand on imagine ses cours de préparation à l’accouchement, on s’attend souvent à apprendre à souffler comme un petit chiot... Pas à se retrouver nue, jambes écartées, sous les yeux ébahis de son mec et de son ostéo pour une petite session massage du périnée… C’est pourtant ce qui m’est arrivé. Par Laura Boudoux Quand j’ai commencé à me renseigner sur les cours de préparation à l’accouchement, au cours de la trentième semaine de ma grossesse, je m’attendais à tout sauf à ça. Mes amies me parlaient de yoga prénatal, de cours de natation, de séances de sophrologie, et de visites à domicile de sages-femmes. Je me voyais réprimer un fou rire en essayant de souffler en cadence avec d’autres femmes au visage très sérieux, ou tomber sur un tatami hydroalcoolisé en voulant faire genre Je maîtrise ma Swiss Ball ». Lorsque je commence mes recherches, je réalise que la plupart des centres sont fermés, ou ne proposent que des cours très théoriques sur Zoom. La seule sage-femme qui pourrait nous recevoir, mon conjoint et moi, me fait fuir en une vision celle de la page d’accueil de son site Internet. La photo qui s’affiche en plein écran sur mon ordinateur montre une femme accroupie dans une salle glauque, le visage violet, en train d’hurler en sortant son bébé sanguinolent de son vagin. Non merci ! Ostéopathie et plancher pelvien Je trouve finalement un centre fondé par deux ostéopathes, qui me propose quatre séances privées en présentiel, dont trois avec le futur papa. Au téléphone, Noélia m’explique vaguement que la première session porte sur le périnée, je dis Oui oui, super ! », et je raccroche, heureuse d’avoir enfin trouvé le lieu où j’allais apprendre à extirper un être tout entier de mon corps. Le jour J, alors qu’on marche vers notre rendez-vous après une longue journée de travail, je plaisante avec le futur père de mon enfant en l’imaginant tâter mon périnée. Il rit jaune, mais il rit, loin de penser qu'il va vraiment jouer les Dr. Gynéco. En vitrine, le cabinet affiche en grand sa spécialité le plancher pelvien. Comprendre le périnée, qui est constitué de muscles, de ligaments, et de membranes, et qui se situe, vue de l’extérieur, entre l’entrée du vagin et l’anus. Noélia nous accueille, nous demande d’enlever nos chaussures pour enfiler ces gracieux mini sachets en plastique bleu à chaque pied, avant de la suivre dans la salle de consultation. C’est exigu, la lumière est très blanche, et nos chaussons de Schtroumpf font pfiout pfiout ». L'ostéo a à peu près notre âge 30 ans, elle est sympa et nous met à l’aise. Après ses questions sur d’éventuelles fuites urinaires ou la constipation, elle rentre dans le vif du sujet le massage du périnée. J’en ai déjà entendu parlé, et plusieurs amies m’en ont vanté les bienfaits. Elles m’ont ainsi raconté qu’elles se massaient à l’aide d’une huile végétale, deux à trois fois par semaine, accroupies dans leur salle de bain. Noélia nous confirme que ces massages préparent le périnée en l’assouplissant, réduisent quelque peu le risque d’épisiotomie, et améliorent la récupération post-accouchement. Génial ! La perspective de passer un quart d’heure contorsionnée pour me masser l’intérieur de la vulve ne m’enchante que peu, mais je suis prête à faire l’effort pour tenter d’éloigner le mauvais esprit Episio. Elle nous explique finalement que l’on peut mettre une musique douce, des bougies, tamiser la lumière, et surtout trouver tous les deux une position très confortable. Heu… ok, certes. Mais pourquoi elle nous dit tout ça ? A., c’est très important que tu ne sois pas tendu, avec la main comme ça », rigole-t-elle, en mimant des doigts de Golum. Je sens Golum à ma droite se raidir un peu sur sa chaise, à la fois très concentré et consciencieux, à la fois très perplexe. Décontenancé, il hoche la tête, le regard vitreux, quand Noélia lâche Allez, c’est parti ! », en montrant la table d’examen. L’origine du monde Bon ! Tu t’es coupé les ongles ? Sinon pas de problème, j’ai des gants. D’abord je commence, et ensuite ça sera ton tour », conclut l’ostéo, totalement décontractée. Je vois mon mec se mettre en mode commando, prêt à accomplir une mission de combat rapproché. Fébrile, il prend l’énorme bouteille de deux litres de lubrifiant pour du gel hydro-alcoolique, et fait beaucoup rire Noélia pendant que je me déshabille maladroitement. Je fixe mes chaussons bleus et j’hésite à les garder, mais je me dis que ça va faire vraiment bizarre, d’être le sexe à l’air, face à eux, avec ces sachets en plastique aux pieds. Je les enlève, m’installe sur la table d’auscultation, l’ostéo d’un côté, mon mec de l’autre. Écarte les jambes, et baisse les fesses. » Je m’exécute, en me disant qu’après tout, elle en a vu d’autres et que mon mec connaît la zone, ici bien exposée sous une lumière blafarde. Mon énorme ventre m'empêche de voir ce qui se passe, et je me dis que c’est tant mieux. Noélia commence le massage en expliquant chaque étape d’abord les lèvres extérieures pour préparer la vulve », puis un huit autour du vagin », et enfin une série de mouvements réalisés à l’aide d’un ou deux doigts insérés dans le vestibule. A. me demande toutes les quatre secondes si ça va. Et bizarrement, ça va ! C’est très singulier et je me demande un peu ce que fait là, mais ça va. Puis, Noélia cède sa place et dit à mon conjoint un peu palot que c’est à son tour de donner de sa personne. Il fait claquer ses gants en rigolant, s’emmêle un peu les pinceaux, et oscille entre blagues et questions très pragmatiques sur mon périnée. Je sens quand même une petite sueur le traverser quand Noélia lui dit de veiller à ne pas toucher l’anus pour éviter les bactéries, alors qu’il dessine les fameux huit » du bout de son doigt. De plus en plus à l’aise, il s’oublie un peu, entrant et sortant allègrement son doigt de mon anatomie, avant d’être rappelé à l’ordre par l’ostéo. Les allées et venues, ce n’est pas très agréable pour ta partenaire. Quand tu es dedans, tu essayes d’y rester », explique-t-elle. Finalement subjugué par tout ce qui se passe à l’intérieur, il lâche de grands Ouaaah » accompagnés de sourires béats, toute sorte d’onomatopées dès que je contracte, et des Incroyaaaable » quand il sent mon pouls. Noélia et moi pleurons presque de rire en voyant cet homme de 31 ans si ému et extasié devant ce qu’il ne cesse d’appeler L’origine du monde », qu’il pensait si bien connaître. Si cette expérience très singulière n’est, je pense, pas adaptée à tous les couples, elle nous fait encore beaucoup sourire, et je suis persuadée que le fait d’impliquer le plus possible les pères ou les deuxièmes mères dans la préparation à la naissance est primordial. Quand je pense qu’A. aura participé à son échelle à préparer mon corps à l’épreuve qui l’attend, je me sens un peu moins seule, et lui un plus utile. Les rituels MDP », comme il les appelle désormais, permettent aussi de conscientiser le corps, de connecter avec soi et avec l’autre en l'occurrence, et je dois reconnaître que je suis contente de ne pas à avoir à me battre avec un miroir dans ma salle de bain pour voir au-delà de cette montagne qu’est devenu mon ventre. Il faut le sentir, être à l’aise, et communiquer avec sonsa partenaire, mais une fois qu’on est lancé, tout ça semble finalement assez notre prochain cours, Noélia devrait nous apprendre des techniques de respirations les fameuses, enfin et des positions pour soulager la douleur lors du travail. Avec un peu de chance, je ne finirai cette fois pas à moitié nue, jambes écartées !
Aieconfiance en toi, ton corps est capable de le faire. Je suis fier de toi. On forme une équipe : maman, papa et bébé, ensemble on va y arriver. Continue, tu te débrouilles très bien. Tu es incroyablement forte et courageuse ! Chaque contraction aide à faire naître notre bébé ! Je suis là pour toi. Respire bien et ne lutte pas
Quand un heureux événement vient frapper à la porte de la vie d’une famille, il est bon de pouvoir trouver les mots pour dire le bonheur suscité par la venue au monde d’un enfant. Cet article vous propose des modèles gratuits de Sms Grossesse pour deux types de messages Des exemples de Sms Annonce Grossesse pour annoncer qu’on est enceinte à sa famille, au papa, à ses amis ou ses collègues de travail. Des Exemples de Sms Felicitations Grossesse pour féliciter les futurs parents la future maman et le futur papa Belle citation sur la grossesse pour les futurs parentsExemples de sms pour annoncer sa grossesseBeaux messages d’annonce d’une grossesse pour dire à ses proches que l’on est tombée enceinte et que l’on attend un bébé d’amour. Ces messages peuvent être modifiés pour être envoyés par la maman ou le papa ou encore par les deux futurs d’annonce de sa grossesse aux membres de sa familleMes chers parents, mes frères et soeurs, à vous membres de ma famille adorée,J’ai une grande nouvelle à vous annoncer! Notre merveilleuse famille va bientôt s’agrandir. Marc indiquer le prénom du père du bébé à naître et moi-même allons devenir d’heureux ce message, je vous annonce que je suis enceinte et la plus épanouie des femmes! Je sais déjà que notre future bébé sera comblé d’affection et d’amour par chacun d’entre sommes si heureux de partager ce bonheur avec vous !⇒ Trouver un beau message de félicitations pour la naissance d’un enfant à envoyer à la maman et au papa du pour annoncer sa grossesse avec un message d’humourMessage marrant pour annoncer sa Grossesse de façon comique. Un message drôle de la future maman à envoyer à sa famille ou ses prends du poids !Depuis quelques temps, malgré mon régime alimentaire des plus strictes, ma non-consommation de bière, et mon activité sportive intensive, JE PRENDS DU toute femme qui se respecte, cette situation de prise de poids devrait me déprimer! Et bien non! Bien au contraire ! Prendre du ventre me rend heureuse, très très heureuse!Et oui vous l’avez compris Je suis enceinte! Je suis enceinte! Mohamed à personnaliser avec le prénom du papa et moi-même sommes heureux de vous annoncer ma grossesse!Dans quelques mois, si Dieu le veut, nous allons devenir les plus heureux parents du monde…Heureuse de partager avec vous cette merveilleux nouvelle !Gros bisous à tous … de nous 3 !Message pour annoncer une grossesse au papa Sms originalIdée de sms pour informer son mari ou son compagnon que l’on est enceinte. Une annonce originale au futur père de l’enfant à amour …Mon chéri, je crois que tu as fait une petite bêtise! Mais une bêtise qui fait de moi la plus heureuse des femmes sur amour Je t’annonce que dans quelques mois tu seras l’heureux papa d’un petit bout de choux. Je suis enceinte et Je t’aime ! Merci à toi pour tout ce pour annoncer sa grossesse à ses collègues de travailAvis à la population ! À vous mes collègues de boulot!Vous qui partagez mon quotidien professionnel. Je voudrais en quelques mots amicaux annoncer une grande nouvelle! Votre collègue adorée va avoir un bébé dans quelques mois!Après la naissance de cet enfant de l’amour je ne serais plus la même collègue! La maternité, être maman, va me transformer à jamais! Je compte sur votre soutien, votre bienveillance et tolérance durant mes 9 mois de grossesse Mes chers collègues, je vous promets de cultiver la bonne humeur et la joie jusqu’au jour de la naissance de mon petit bébé!Après mon congé maternité et certainement mon congé parental, je vous présenterai le fruit de mon amour et de celui de son papa !À bientôt cher collègues … Au plaisir de vous présenter mon petit bébé d’amour …Message de félicitations simples pour une maman enceinteMon amie chérie !Je viens d’apprendre que tu es enceinte ! Par ce simple message amical je te présente mes félicitations pour ta grossesse. Je sais déjà que tu seras une douce maman pour ton enfant. Une délicieuse maman pleine de tendresse et d’affection pour son petit bébé de l’amour!Meilleurs voeux de bonheur aux futurs parents. Je t’embrasse avec tendresse … Prends bien soin de toi ma chérie !Sms pour féliciter une personne enceinte avec humour noirSms Humour Félicitations à prendre au second degrés – Message marrant à une femme qui attend un bébéÀ une bonne copine !On vient de m’annoncer ta grossesse!Enfin! Je tiens ma revanche, moi qui ne supporte pas de te savoir si belle! Enfin tu vas grossir, connaître tous les symptômes de la grossesse …Malheureusement pour moi, je crois que ta grossesse va te rendre encore plus belle! Ta beauté va se transformer pour devenir encore plus intense… Je le sais déjà! Être enceinte t’ira à merveille! Je suis jalouse…Bien sûr je plaisante! Que ce message d’humour noir de félicitations pour ta grossesse te fasse rire et t’accompagne dans la joie vers le plus grand des bonheurs l’accouchement d’un enfant est ce qu’il a de plus beau, de plus félicitations au papa et à la maman pour cet heureux événement. Gros bisou à toi ma copine merveilleuse !Citation positive de Bonne année à une femme enceinteLe jour de l’An, pour une femme enceinte, porte en lui la promesse d’une année de bonheur. L’année de naissance d’un bébé est une renaissance pour les maternité et la paternité transforment à jamais l’existence. Que cette nouvelle année et cet heureux événement vous ouvrent les portes d’une vie de famille heureuse et apaisée! Que votre enfant à venir vous révèle le meilleur de vous-mêmes et fasse de vous les meilleurs des parents!Meilleurs voeux de Bonheur aux futurs parents merveilleux que vous êtes tous les deux. Message positif Bonne Année à une femme enceinte – Voeux futurs parentsLire d’autres écrits sur le même thème Modèles de Textes de FélicitationsExemples Messages pour annoncer sa grossesseIdées de Textes pour femmes enceintes
Effectivement il n'y avait pas ma cousine car je ne lui parle plus. Ma grand-père, pareil, je ne lui parle plus ! Sinon, il y avait tout le reste de la famille", explique Liam. "Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants". Pour Déborah, l'histoire ne s'est pas vraiment terminée comme ça. Si son Prince Charmant est parti, son désir d'enfant n'a pas disparu avec lui. Au contraire. Il n'a fait que croître avec le temps. Alors à 33 ans, la jeune femme a choisi de se faire inséminer en Espagne. "J'ai toujours voulu des enfants. Au moins deux. Et j'ai calculé qu'il fallait que je m'y mette avant 35 ans pour avoir le second autour de 37, 38 ans. Alors quand à 29 ans je me retrouve célibataire après 3 années en couple, je pense tout de suite à l'adoption. Seule. Mais je me donne un an pour peu de temps après, je rencontre un homme. Je lui annonce d'emblée mon souhait d'avoir un bébé. Lui n'en veut pas. Je reste quand même avec lui, il finira bien par changer d'avis. Sauf que les mois, les années passent, mon désir d'enfant grandit, et mon compagnon reste sur ses positions. Ce désir profond me prend aux tripes. Je ne supporte plus de croiser une femme enceinte dans la rue, les annonces de grossesse au bureau me font pleurer, je ne pense qu'à ça. Je me pose beaucoup de questions, mais je comprends finalement qu'il ne changera pas d'avis. Alors je le quitte. C'est la décision la plus compliquée de ma vie, mais je ne veux plus perdre du temps. Plutôt que l'adoption, j'envisage désormais la PMA à l' BarceloneTout de suite après la rupture, je prends rendez-vous dans une clinique à Barcelone. Ce n'est pas un choix précipité, ça fait longtemps que j'y pense. J'ai comparé les cliniques sur les forums, cherché des infos sur la Belgique et l'Espagne. Je ne sais pas encore si je vais vraiment sauter le pas, mais je veux aller voir sur place comment ça se passe. Nous sommes en septembre 2015. Pendant deux heures et demi, le médecin me présente les possibilités qui s'offrent à moi et m'explique le l'avion du retour, tout s'éclaire. C'est décidé, je vais faire une insémination artificielle avec donneur anonyme. Je préfère éviter la FIV ; je suis relativement jeune, je n'ai a priori pas de problème d'infertilité et je sais que le risque de grossesse gémellaire est plus élevé. Je le dis à mon père car j'ai besoin de sa bénédiction. J'en informe aussi quelques amis. "Si tu manques d'affection, prends-toi un chat"Globalement tout le monde réagit bien. On m'encourage et me soutient. J'ai évidemment droit à quelques remarques désagréables du genre 'Mais tu es jeune, tu as encore le temps' ou alors 'si tu manques d'affection prends-toi un chat'. J'encaisse. Le commentaire le plus difficile viendra de ma mère " je ne suis pas d’accord avec ton choix de ne pas vouloir donner de père à cet enfant'. Bien sûr que je préfèrerais le schéma conventionnel trouver un homme puis faire un enfant. Sauf que ça ne marche pas. Depuis des années ça pourrit mes relations je n'envisage les hommes que je rencontre que comme des pères potentiels, je leur mets la pression, je crois que je peux les faire changer d'avis, et ça finit forcément mal. J'ai besoin de sortir de cette spirale. Je ne veux pas me retrouver seule et sans enfant à 40 n'ai pas besoin de retourner en Espagne pour démarrer le protocole. La clinique me fournit toutes les ordonnances. J'appelle ma gynéco française pour l'informer de ma situation, et elle me propose alors de me prescrire tous les traitements de stimulation et examens de monitoring une prise de sang et une échographie tous les deux jours afin que je puisse être remboursée. Elle m'explique qu'elle a plusieurs patientes dans ce cas et qu'elle a l'habitude de le 16 jours les plus longs de ma vieJe démarre donc le traitement. Tout se passe bien. Pharmaciens, biologistes, échographistes... on sent que les professionnels français ne sont pas surpris par ma situation. Ils se montrent bienveillants et compréhensifs. Ne jugent pas ma démarche. Ils font leur boulot, c'est tout. Et le 13 février, ça y est. Seule, je retourne à Barcelone pour l'insémination. Dans ma tête, je ne réalise pas vraiment. Je suis persuadée que ça ne marchera pas du premier coup et que c'est juste une répétition pour me me coûte au total 1000 16 jours qui suivent s'écoulent lentement. Je dois faire une prise de sang le 29 février. Je suis les conseils du médecin et me programme des sorties et des activités histoire de penser à autre chose. Le jour J arrive. Je suis au bureau lorsque je découvre les résultats de mes analyses sur le site du labo. 691 UI. C'est le taux de Beta Hcg qui s'affiche l'hormone qui permet de détecter une grossesse. Le chiffre est énorme mais je n'ose pas y croire. J'envoie le compte-rendu au médecin en Espagne. Il me confirme que je suis bien enceinte et m'envoie passer une échographie. Je souris bêtement devant mon ordi et j'essaye de finir ma journée normalement. Je préviens juste mon père et ma meilleure Tchernobyl dans ma têteUne semaine plus tard, je passe une écho pour vérifier la présence du sac gestationnel et là, c'est le choc. La gynéco m'annonce qu'il y en a deux ! J'attends des jumeaux. Je panique complètement. C'est Tchernobyl dans ma tête. Ca n'était pas du tout une option. Les questions se bousculent. J'envisage deux secondes de ne pas les garder. Puis j'essaye de me calmer. Finalement, c'est ma mère qui réussira à m'apaiser. Et aujourdhui, je suis ravie d'attendre des jumeaux. Pour moi qui veux des enfants, c'est formidable d'avoir deux bébés d'un fois le cap des trois mois passés, je l'annonce à tout le monde famille, collègues, amis. Et là, après la surprise, c'est l'inquiétude mais comment tu vas faire toute seule ? Ton appart est assez grand ? Et financièrement tu vas t'en sortir ? Pour moi, tout ça c'est secondaire. A vrai dire, j'ai encore 6 mois pour me préparer, je peux tenir le coup financièrement, et je suis bien entourée. Je sais que ce sera des sacrifices et des galères, j'y suis prête, mais je regrette que les gens s'arrêtent au côté matériel de la chose. Qu'ils occultent toute la dimension psychologique. Le plus difficile dans ce que je vis, ce n'est pas l'aspect logistique, c'est que cette décision est un aveu d'échec. Je reconnais que je n'ai pas réussi à trouver un partenaire stable pour fonder une famille. Aucune femme ne rêve de faire un bébé toute cherche un homme avec qui partager ma vieD'ailleurs, je ne renonce pas à l'amour pour autant. J’espère encore trouver un homme avec qui partager ma vie, pas forcément un père pour mes enfants. Ce sera plus compliqué et il est évident que la personne que je trouverai devra prendre mes enfants comme une donnée du problème. Mais j'ai fait des enfants toute seule et je suis prête à les j'ai encore des angoisses. J'ai surtout peur de l'isolement. Je ne veux pas me retrouver en tête à tête avec mes enfants et je veillerai à garder une vie sociale. En revanche, je n'ai pas peur pour leur équilibre. Je sais que je leur dirai la vérité et qu'ils pourront l'entendre. Elle prendra une forme différente selon leur âge mais je leur expliquerai que quand une maman a très envie d'un bébé mais qu'elle ne trouve pas de papa, elle peut aller voir un médecin. La société change et d'ici quelques années, tous les enfants seront capables d'entendre qu'une famille, ce n'est pas forcément papa/maman/ Léo et Léa, le site de Déborah pour les parents ou futurs parents de jumeaux.Je ne supporte pas mon physique, c’est dur de me voir comme ça« , lance-t-elle dès le début de son témoignage. L’ex-star des Anges et ex-compagne de Thibault Kuro est enceinte de son premier enfant, un petit garçon (elle devait accueillir des jumeaux mais l’un des bébés était atteint de trisomie 21 et le couple a fait le choix « d’arrêter son coeur » via un
BalanceTonPorc Bonjour je m'appelle Sophie et j'ai 18 ans. J'ai choisi de témoigner du fait que j'ai été contrainte d'avoir des relations sexuelles avec le conjoint de ma mère pendant 1 mieux comprendre, il faut absolument que je vous explique le contexte. Je suis l’aînée d'une fratrie de 3 enfants. Mon petit frère Kevy est le fruit de l'union entre ma mère et mon beau -père. J'ai aussi une petite sœur de 12 ans née d'une précédente union tout comme moi.Depuis quelques années, ma mère ne supporte plus les tromperies incessantes de Francisque, mon beau-père. Au début, elle était juste triste, mais son état s'est rapidement dégradé au point de faire des dépressions régulièrement. Dès lors, elle multiplie les séjours en hôpital psychiatrique pour des périodes plus ou moins les périodes d'hospitalisation de ma mère, nous restions seuls avec notre beau-père. Il s'est toujours occupé de ma sœur et moi comme ses propres filles tant au niveau financier qu'affectif. Un soir, je me rends au salon et je trouve Francisque mon beau-père sanglotant. Il m'explique que ma mère lui manque énormément. Naturellement, je lui fais un petit câlin de réconfort C’était le geste de trop, le geste qui a été mal interprété,le début de mon cauchemar. Pendant ce moment affectif avec l'homme que je considérais comme mon père, il me susurre à l'oreille qu'il est content que l'on fasse partie de sa vie. Par la suite, je retourne me coucher. À partir de ce soir-là, Francisque multipliait les allusions sexuelles et les blagues salaces. Lors d'une visite, J'ai décidé de faire part à ma mère de mes doutes qui se transformaient progressivement en de la peur.... mais elle était amoureuse, très amoureuse. Alors, elle ne m'a pas crue. Elle me disait que je me faisais des idées. À ce moment, je me suis dit que si ma propre mère ne me croyait pas, qui le ferait?. J’étais seule face à une situation qui allait virer au jour redouté arriva. Francisque rentra tard, il était fortement alcoolisé et les petits étaient déjà couchés. Je suis dans ma chambre, je surf sur le net comme tous les ados! Il était 23h30 quand il est rentré dans ma chambre. J'ai tellement peur que je fais mine de ne pas l'avoir vu. Il se rapproche de moi tout doucement tel un prédateur prêt à bondir sur sa proie. Les battements de mon cœur s’accélèrent, Je regarde fixement l’écran de mon ordinateur pour éviter son regard. Soudain, il se déshabille, se jette sur moi et me dit "fais-le pour moi Sophie, tu ressembles tellement à ta mère, tu veux bien me soulager et faire plaisir à papa Francisque?". Je suis horrifiée. Comment l'homme qui m'a élevée peut se révéler être un véritable porc! Je me lève et tente de m’enfuir... en vain ! Francisque mesure 1m90 pour 100 kilos, autant vous dire que c'est un colosse! Il m’attrape par le poignet et me dit d'un air menaçant que si je ne lui fait pas une fellation, il s'en prendra à ma petite sœur! Mon mode s'écroule, je suis en larme , elle n'a que 12 ans! Alors par amour j'ai décidé de me sacrifier !À partir de cette nuit, j’étais devenue sa chose, il me faisait du chantage affectif contre des relations sexuelles. Ce gros cochon, m'offrait des cadeaux, m'amenait à l’école et était le beau-père parfait en publique, histoire de se donner bonne conscience! Dès qu'il avait ses pulsions, je devais me plier à ses volontés car je ne pouvais pas laisser ma petite sœur vivre cela. Une fois que tout le monde était couché, il frappait à la porte de ma chambre et je savais que je devais me préparer psychologiquement à être son défouloir. La présence de ma mère ne le dérangeait pas car pour être plus tranquille, il lui donnait des somnifères ! De plus, après de nombreuses hospitalisations, ma mère était devenue une véritable loque humaine. J'avais tellement honte de ce qui se passait que je ne trouvais pas la force d'en parler. J'avais le dernier Samsung, la tablette la plus performante ... Mais je n'étais pas heureuse car c'était des cadeaux offerts par mon beau-père pour acheter mon silence. Je n’étais plus la même, j'étais amaigrie, j'avais perdu ma joie de vivre, j'avais des insomnies et mes amis du lycée ne me reconnaissaient plus. Un jour, ma meilleure amie lassée de me voir ainsi me bombarda de questions, j'avais envie de tout balancer mais je n'arrivais pas à l’ temps après, nous étions en cours de philosophie où nous avions vu une citation de Thomas HOBBES "L'Homme est un loup pour l'Homme". Lorsque le prof Madame T. a expliqué cette phrase,j'ai fondu en larme,car elle résonnait au fond de moi car Je me suis remémorée toutes ces horreurs que Francisque, ce prédateur sexuel m'infligeaient! J'étais inconsolable, alors ma meilleure amie m'accompagne au toilette pour me rincer le visage. J’étais au bord de l'implosion! Je ne pouvais plus le garder pour moi, alors je lui ai tout dit. Suite à cette discussion forte en émotion, ma copine Manon m'accompagne chez l'infirmière du lycée. C'était très difficile de reparler de cette histoire qui me rongeait de l'intérieur, mais je voulais être libérée de ce poids. Très rapidement après cette discussion, l'infirmière m'a accompagnée pour porter plainte contre Francisque. J'ai dû subir une batterie d’examens médicaux afin de constituer mon dossier. Entre temps, nous avons été placés dans une famille d'accueil car ma mère a été déclarée inapte à nous élever. Francisque quant à lui à été écroué en attendant son procès. À seulement 18 ans, j'ai l'impression d'en avoir 30 je ne fais plus confiance aux hommes, ma famille est meurtrie par cette affaire mais je reprends goût à la vie petit à petit car je suis enfin libérée de cette emprise. Résilience
jene supporte plus lalcool enceintechomeur consanguins : bienvenue chez les ch'tis. Welcome to the New NSCAA. boucherie l'isle jourdain; je ne supporte plus lalcool enceinte. June 1, 2022. by travailleuse couture années 50. équivalence thermomix kcook multi
Publié le 29-05-2017 à 16h59 - Modifié le 03-06-2017 à 12h0229 réactions 24158 lu Temps de lecture 7 minutesLE PLUS. Chloé, professeure des écoles de 28 ans, est enceinte de trois mois. Et bien qu'elle soit ravie d'attendre un enfant, elle ne s'attendait pas à vivre une telle galère sur le plan physique. Nausées, vomissements, hypersalivation, hormones en pagaille... Son corps a du mal à accepter ce nouvel état. Elle et parrainé par louise-auvitu Image d'illustration d'une femme enceinte victime de nausées. EvilrErin/FlickrCC J'ai 28 ans, je suis professeure des écoles et je suis enceinte de trois mois et une semaine. Je précise "et une semaine", car on dit que les nausées et vomissements liés à la grossesse cessent après trois mois. Manifestement, ce n'est pas mon cas. Allez, au pire, il reste six mois de galère, mais "tu verras, après la naissance, tu oublieras cette période". Eh bien non, il est fort probable que je n'oublie jamais ces mois passés à vomir ma vie dans la cuvette des chiottes, ou dans le bus, voire sur moi quand ça ne prévient pas l'état qui précède le vomissement étant constant, je ne peux pas toujours anticiper les vomissements. Il existe un terme un peu compliqué pour désigner ces vomissements incessants d'aliments, – voire de bile, quand c'est vraiment les beaux jours sombres – l'hyperémèse gravidique. On parle aussi de vomissements incoercibles. À l'hôpital, personne ne m'a parlé de ce trouble, mais mon médecin généraliste m'a confirmé qu'il s'agissait bien de cela. En gros, c'est une indigestion qui dure, qui dure, qui dure. C'est comme quand le corps te fait payer tes huit verres de rhum bus la veille, sauf que là, il te fait payer pour le fœtus qui est en toi. Dans mon cas, je vomis cinq à dix fois par jour, voire plus. Je me retrouve célibataire avec ma cuvette de WC Ma grossesse fabuleuse a été désirée. Mon couple battait déjà de l'aile avant la grossesse. Ces trois mois de grossesse ont totalement déplumé ses ailes et je me retrouve célibataire avec ma cuvette de WC. Si je me permets d'évoquer ce point, c'est parce que cette maladie, qui n'en est pas une selon le corps médical, met vraiment à mal le couple, de façon générale, si j'en crois les différents témoignages que j'ai lus sur des sites très sérieux tels que Doctissimo, Aufeminin, etc. Mon compagnon a été patient dans une certaine mesure. Il a nettoyé le vomi, m'a préparé des soupes que je vomissais ensuite, a accepté que je ne partage aucun repas avec lui, m'a écoutée me plaindre et avoir un visage constamment dégoûté, a subi le fait que je ne veuille ni le voir, ni le sentir, ni le toucher, ni avoir des rapports intimes. Il m'a accompagnée à l'hôpital. C'est évidemment très lourd pour un partenaire, d'autant plus lourd quand cela dure trois mois. Il a certainement fini par penser que je serai comme ça longtemps et que tout cela avait définitivement cassé quelque chose, alors que c'était mon état qui me rendait ainsi. Il faut dire que la littérature scientifique sur le sujet n'est pas pléthorique, donc on se rabat rapidement sur des sites sponsorisés dont les papiers sont toujours politiquement très corrects "La grossesse, c'est beau, c'est dur, c'est bon", ou bien sur des forums où les femmes nomment leur gynécologue "gygy" et leur enfant "bb1". Grosse frustration donc quand j'ai demandé à Google "Est-ce normal de vomir 10 fois par jour pendant la grossesse ?". J'ai toujours mon petit crachoir avec moi Les nausées sont apparues précocement, vers deux semaines de grossesse. Cela s'accompagnait d'hypersalivation. Donc, j'ai toujours mon petit crachoir sur moi. Quand je n'en ai pas, j'essuie les remarques grasses des hommes dans la rue qui me rappellent que ça n'est pas "classe". Les hormones aidant, je suis souvent allée à la rencontre de ces messieurs pour leur dire ce que j'en pensais et je suis souvent passée pour une hystérique violente. Avec les hormones, j'ai souvent failli frapper ces hommes. Ça, c'est grâce aux supers hormones. En tout cas, je connais désormais l'odeur infâme de la salive, à force d'avoir le nez dans mon crachoir. On comprend alors que c'est un enzyme. J'ai appris à vomir en toute discrétion dans un bus Au début, je vomissais dans mon bain matinal, tant et si bien que j'ai pris le pli de prendre des douches debout dans ma baignoire afin d'éviter de me baigner dans le vomi. Le cauchemar quotidien se poursuit tout naturellement sur le chemin de l'école comprenant vélo, bus et marche. J'ai donc appris à vomir discrètement dans le bus sans même que le voisin d'en face ne s'en aperçoive. J'en profite pour rappeler aux hommes qui empruntent les transports en commun que "Drakkar" n'est pas un parfum mais une immonde fragrance qui fait vomir. En classe, je faisais régulièrement des allers-retours aux toilettes. J'ai prévenu mes élèves, mais ils me demandent toujours pourquoi je suis toute rouge en revenant des toilettes. Eh bien mon grand, la maîtresse est enceinte, la maîtresse se meurt, la maîtresse va craquer alors reste bien tranquille si tu veux aller en récréation. Les conseils de mon médecin sont dignes d'un magazine féminin J'ai consulté deux fois mon médecin. La première fois, il m'a dit que c'était normal et m'a prescrit un somnifère dont les effets secondaires sont d'atténuer les nausées. Évidemment, c'était moyennement efficace et plus le temps passait, plus c'était carrément inefficace. Je dors naturellement bien. Avec les comprimés, je me traînais toute la journée. J'ai d'ailleurs fait classe exclusivement assise derrière mon bureau, à l'ancienne, alors que l'Éducation nationale encourage les professeurs des écoles à être mobiles et à apporter de l'aide personnellement aux élèves en difficulté en allant jusqu'à eux. Là, ça n'était pas possible. À la deuxième consultation chez mon médecin, j'ai bien compris qu'il n'avait rien d'autre à me proposer et faisait passer le temps avec des questions nulles et des recommandations de type "il faut manger du gingembre" ou "il ne faut pas s'allonger tout de suite après avoir mangé", afin de justifier les 25 euros de consultation. Merci, autant d'années d'études pour me donner les conseils d'un magazine féminin ci-mer. Il concluait toujours par "vous faites partie des cas extrêmes, mais pas d'inquiétude". À ce stade, grâce à mes nombreuses recherches sur internet, je savais que les nausées étaient normales, même si certaines y échappent, mais je savais aussi que vomir autant de fois par jour était plus rare. "Moi, aussi je suis passée par là" J'ai essayé toutes les petites astuces eau gazeuse, repas fractionnés, agrumes... Rien n'y faisait, j'ai connu le goût de tous les aliments que j'ai ingérés deux fois quand ça entrait et quand ça sortait. Bon an mal an, je m'en sortais plutôt bien puisque je n'ai perdu que quatre kilos le premier mois. Certaines perdent jusqu'à 15 kilos, mais c'est "normal", et aussi "ça n'est pas une maladie". Le plus insupportable socialement reste certainement les témoignages faussement bienveillants des femmes de mon entourage plus ou moins proche. Certaines me racontent qu'elles sont aussi passées par là. En fait, la plupart confondent les petites nausées matinales accompagnées d'un petit vomito de temps en temps, avec les bons gros vomissements quotidiens incoercibles et nombreux accompagnés de perte de poids. J'ai conclu que ces femmes ne voulaient pas tant me soutenir, elles se valorisaient en me rappelant qu'elles étaient passées par ça. Cinq à dix fois par jour, t'es sûre ? Vomir de la bile, t'es sûre ? Non, on ne passe pas toutes par ça ma vieille. La cerise sur le gâteau, c'est quand elles te font culpabiliser en te disant que tu ne manges pas assez pour le bébé, donc le message sous-jacent est évidemment que tu es déjà une mauvaise mère. Je précise d'ailleurs qu'à ce stade de la grossesse, le corps possède tout ce qu'il faut pour assurer les échanges avec le fœtus, même si l'on mange peu. À l'hôpital, plus personne pour me faire chier, me juger À force de vomir, un soir, j'ai eu une inflammation des amygdales. Le soir, les vomissements commencent presque précisément à 17h et à partir de ce moment, je me mets en position de morte, effectuant mes trajets jusqu'aux toilettes, attendant le prochain vomissement. Dans ces moments-là, j'espère fort que je ne vais pas commencer à vomir de la bile, car là c'est le début de la fin. Les crampes que cela occasionne sont insoutenables. Inutile de souligner que ma vie sociale et culturelle est réduite au néant avec un tel emploi du temps. Un soir, après une bonne dizaine de vomissements, j'ai senti que j'étais extrêmement faible et que je me déshydratais. Évidemment, quand on commence à vomir de la bile, une gorgée d'eau ne passe pas. J'ai été hospitalisée. Pour calmer les vomissements de bile qui perduraient à mon arrivée à l'hôpital, on m'a perfusée. On m'a administré un médicament antiémétique puissant que l'on donne habituellement avant une chimiothérapie. Enfin, on m'administrait un médicament qui fonctionnait vraiment. On m'a réhydratée via la perfusion et on m'a gardée plusieurs jours. Je ne réussissais pas à manger au début et ce n'était pas grave grâce aux apports ioniques de la perfusion. Quel soulagement de ne plus manger. Je suis restée dans le noir dans ma chambre et c'était bien. Plus personne pour me faire chier, me conseiller, me juger. Tu veux pas manger, c'est pas grave. On m'a prescrit ce même médicament à mon départ de l'hôpital, sous forme de patch, afin d'éviter les vomissements de cachets. J'ai assez morflé, je veux une péridurale En me documentant sur ce médicament, j'ai eu quelques frayeurs, car il n'est pas recommandé aux femmes enceintes. À la pharmacie, on était déjà outré que je prenne des somnifères, alors là un patch pour les cancéreux, autant vous dire que j'aurais pu arriver avec un Jack et une clope au bec, j'aurais provoqué les mêmes réactions. M'en fous, t'es pas médecin, donne-moi ça sinon je vomis sur le comptoir. Au début, je voulais un accouchement naturel et sans péridurale dans un hôpital bobo du nord est parisien. Autant vous dire que ma position a bien évolué. Je considère que j'ai assez morflé. Mettez-moi la totale, péridurale, épisiotomie, faites-vous kiffer avec mes deux pieds dans les étriers, je veux juste accoucher et en finir avec cet état transitoire insupportable. Non, la grossesse n'est pas appréciable dans ces conditions, il ne faut pas avoir peur de le dire. La parole des femmes qui partagent cette souffrance qui dure, qui dure, doit être libérée. majhea a posté le 24 août 2019 à 19h09Merci pour cet article, j'ai vécu ça 4 fois. Vomir chaque 1/2 heure, de mon lever à mon coucher, pendant toute la durée de la grossesse, de la 4eme semaine à l'accouchement. La première grossesse, j'ai même vomi une dernière fois, avant de pousser. Vomir de la bile, du sang, avoir soif tout le temps car l'eau ne passe pas. Avoir testé tous les trucs gingembre entre autres, avoir eu aucun soutien médical la première grossesse, et heureusement un super Gynéco ensuite, mais qui n'avait pas de traitement efficace, vogalene en gellule 8 par jour, puis en fin de grossesse, du mopral, contre indiqué avant le 7eme mois. Avoir eu une descente d'organe vessie résolue avec une bonne rééducation, à force de vomir. Bref, c'était il y a longtemps, mais contente qu'on en parle et qu'il yait un nom sur cet état d'intoxication permanente de la grossesse, j'envie beaucoup celles qui ne connaissent que des nausées les 3 premiers mois. Et oui j'ai fait ça 4 fois. Merci pour cet articlele-plus-nouvelobs a posté le 18 juin 2019 à 03h28Salut prof, j'espere que vous vous portez bien, ma femme est enceient le debut de la 3eme mois et elle exactement les symtomes que les votre, elle souffre chaque jours en vomissant de 5 à10 fois par jours voir plus. Elle rejette le plus souvent de la salive. Je vous prie de bien vouloir me donner quelques astuces et conseils que peuvent l'aider à passer cette période critique. Bien à vouscelinebruno a posté le 24 mars 2019 à 03h00Merci pour votre témoignage. En partageant votre expérience, vous aidez des femmes qui souffrent aussi. En espérant que votre fin de grossesse et accouchement se soit déroule pour le a posté le 3 février 2019 à 17h11Bonjour, Je tiens tout d'abord à vous remercier pour votre touchant témoignage. Je peux dire que je me retrouve un peu dans vos descriptions et pour ma part, même si je n'en suis pas au point de vos vomissements intensifs. Je suis constamment sous nausées, je me sens mal H24, je suis molle, je n'arrive à rien, je n'ai jamais été dans un tel état. J'en suis à 9 semaines de grossesse et je crains le pire pour la suite. Personne ne peut comprendre aussi bien ce que vous avez vécu, subi et enduré que les femmes se trouvant dans la même situation. J'ai l'impression de vivre un cauchemar éveillé, le même rituel sordide tous les matins, je redoute d'aller me coucher, je redoute le lever.... Je commençais même à me demander si j'étais la seule à vivre un tel état.. Car comme vous le dites si bien, aux yeux des autres, c'est "normal", il ne faut pas s'alarmer et juste patienter, attendre. "Un peu de patience, ça va aller mieux plus tard...." Je n'ai qu'une envie, que ça se termine et vite ! Comme si on avait une terrible "gueule de bois" mais qu'elle ne passait pas. Vous m'avez appris certaines choses, que nous ne sommes pas seules dans ce cas, et qu'il y a des mots médicaux pour qualifier ces maux physiques et physiologiques.. Merci à vous, en espérant que la fin de votre grossesse se soit mieux a posté le 13 octobre 2018 à 01h26Oh mon Dieu enfin je retrouve un truc sensé qui en parle, dès que je parle de mon état les gens sont là '' Ouais mais bon toutes les femmes passent par la fais pas ta chochotte'', ensuite quand les proches me voient vomir à tout temps tout moment, ils sont là...'' Ah ouais au fait tu vomis vraiment''... Non sans blague.... J passe ma vie au lit je sais même pas comment tu as eu le courage d' aller bosser, franchement chapeau. La j'ai qu'une envie c'est que ça s'arrête j'en peux plus c'est horrible, c est comme être atrocement malade mais 24h sur 24 t'a pas de repis sauf quand je dors et encore y a les pipi qui me reveillent et la rebolote. Merci pour ton article et ceux qui critiquent je vous souhait 4 mois de gastro non stop... Bisousnayloo a posté le 30 mars 2018 à 22h59Salut salut! À peu de choses près, je me suis retrouvée dans ton article. Je vis en ce moment même, pour la 2e fois après 10 ans, exactement le même calvaire je suis ptèt sadomaso?! lol Mon médecin m'a dit que si ça ne va pas mieux c hôpital et perfusion... Je redoute ça mais en même temps si ça peut soulager ces douleurs atroces et ces difficultés à m'alimenter je le ferai. J'espère que tu as pu mener ta grossesse à terme. Et aux gens qui se permettent de laisser des commentaires stupides vous êtes vraiment zéro!!! Ce ne sont pas des chouinements c'est une femme qui a voulu partager son expérience. J'aimerais vous y voir vous à vomir vos tripes 15 fois par jour!!!tom-gamin a posté le 20 juin 2017 à 16h49Courage à vous ! Et on nous bassine avec le fait que la grossesse c'est merveilleux, les femmes enceintes rayonnent, mais c'est dur quand-même... En lisant votre récit, on se rend compte que ça peut être un vrai a posté le 1 juin 2017 à 00h23Bonjour, votre récit m'a touchée. En vous lisant, on peut être tenté de penser qu'en effet, le corps parle. Mais non pas comme j'ai pu le lire dans certains commentaires désagréables et culpabilisants sans intérêt. Vous avez peut-être eu du mal "à digérer" la fin de votre couple, fin que vous sentiez venir même avant cette grossesse, si on vous lit. Et l'attitude du papa qui s'enfuit courageusement en pleine grossesse pardon, oui, là, je juge, sans connaitre... , ça donne... eh bien ça donne déjà au lecteur "envie de vomir". C'est d'une incroyable violence, je trouve. Alors, à vous... je n'ose y penser. Il y a surement plein de causes à ce que vous avez traversé. Je ne suis ni psy, ni médecin. En revanche, d'expérience perso, je sais à quel point le corps parle, parce que parfois c'est le seul moyen pour entendre ce que nous-même avons à nous dire... et je sais à quel point certaines expressions sont vraies l'avoir "en travers de la gorge"... "je ne digère pas ce qu'on m'a fait"... en avoir "plein le dos" ou plein le c..... "ça m'a coupé l'appétit"/"coupé les jambes"... "ça me fait mal au coeur"... ça me donne envie de vomir".. "c'est à vomir"... "c'est écoeurant"... "ça m'est resté là", "j'ai le coeur au bord des lèvres"... "j'en ai gros sur le coeur"..."ça me prend la tête... "avoir la gorge serrée"..."nouée"... "j'en ai jusque là"... "je serre les dents"... "avoir du coeur au ventre"... toutes ces expressions qui sont llea-dasland a posté le 1 juin 2017 à 00h39Oups, j'ai été un peu longue dans ma réaction 00h23. En espérant qu'un de mes deux com ne disparaisse pas dans une faille spatio temporelle dont "le Plus" a le secret, je terminais simplement sur le fait que beaucoup d'expressions comme celles-ci sont très justes, et expriment une réalité simple le trop plein d'émotions que souvent on "prend sur soi", de colère, de tristesse tout ceci se traduisant par un état physique qui prend les formes les plus diverses tiens, j'ai oublié "se faire de la bile" . Et puis, je vous souhaitais surtout une belle fin de grossesse et beaucoup de joies pour quand vous serez a posté le 31 mai 2017 à 17h43Je vous remercie pour vos encouragements monsieur. Vous relevez clairement le niveau des messieurs qui se sont exprimés ci-dessus...angel44 a posté le 8 juin 2017 à 17h24Bonjour, ma soeur m'a envoyé un lien vers votre article. Elle a su que celui-ci aurait une raisonnance particulière pour moi ! Je suis professeur des écoles, maman de 2 filles aujourd'hui, et je suis, d'après ma gynéco, "héroïque" ! J'ai vomi pendant 9 mois x2, j'ai hypersalivé pendant 9 mois +une semaine autant vous dire, qu'à un moment, après l'accouchement, quand les symptômes persistent, on a comme un moment de panique ! J'ai eu la chance d'être bien accompagné, et malgré cela ma vie a été un cauchemar pendant mes 2 grossesses. Si les nausées ont fini par s'apaiser vers 4/5 mois de grossesse, l'hypersalivation, elle a perduré. Moi et mon crachoir... ca les fait marrer les gens, ca les dégoute, mais ils ne se rendent pas compte de se qu'on vit. On se sent seul, isolé. Je n'ai pas été en mesure de travailler tout le temps de mes grossesses. J'ai essayé, mais pas facile quand on se retrouve à quasiment baver sur ses élèves! On se réveille avec l'oreiller trempé de salive, car oui, ca ne s'arrête même pas la nuit.. J'ai eu la chance d'avoir UNE gynéco qui a su me rassurer, m'accompagner sans me bercer d'illusions sur les solutions possible, car soyons honnêtes, seul l'accouchement remet les choses en ordre. Je vous souhaite tout le courage possible. Mais surtout répétez vous, jusqu'à vous en convaincre, VOUS ETES HEROÏQUE, pas moins !!!!Marcharid a posté le 31 mai 2017 à 06h29Je vous souhaite de mieux vous porter. Avez-vous tester les thérapies de médecine alternative, acupuncture, acupression, réflexologie plantaire ? Pour les médicaments anti-vomissement, exixte-t'il des suppositoires qui seraient mieux supportés que les médicaments par voie orale ? Donnez de vos nouvelles, quelles soient bonnes !Cloelangue a posté le 31 mai 2017 à 17h02Je vous remercie vivement pour votre message de soutien. Je n'ai pas testé les thérapies de médecine alternative. Je vous informe d'ailleurs que je remonte la pente, les vomissement ont cessé. Encore merci pour ces mots bienveillants. Excellente journée, Chloéadelever a posté le 30 mai 2017 à 15h36Et oui la grossesse ça peut être terrible et les vomissements n'en sont qu'une partie, après il y a les pieds du bébé qui appuient sur les côtes parfois au point de les fêler , les douleurs dorsales insupportables, la fatigue intense, les diverses carences, les malaises , la terreur de l'accouchement et des complications possibles, l'inquiétude pour le bébé, l’inquiétude pour soi , l'interdiction de prendre des médicaments pour se soulager , les suites de l'accouchement ... et tout ça sans arrêt maladie, parce-que "ce n'est pas une maladie" , alors que vos collègue sont arrêté pour un rhume, et vous êtes sommée de garder le sourire en toute circonstance sinon quelques abrutis courront pour vous accabler . Et pour couronner le tout , quand on lie les commentaires , pas le moindre frémissement de sollicitude de la part de ceux qui n'auront jamais à passer par là , mais en tireront tous les bénéfices à égalité . Limite si ils nous accusent pas de leur voler le congé de a posté le 31 mai 2017 à 17h06"pas le moindre frémissement de sollicitude de la part de ceux qui n'auront jamais à passer par là" vous avez très bien résumé la situation. Les quelques commentaires affligeants des hommes qui ont commenté sont profondément désolants. Je vous remercie en tout cas pour votre message ; je présume d'après votre témoignage que vous êtes passée aussi pas des phases délicates au cours de votre grossesse. Je vous souhaite une excellente a posté le 30 mai 2017 à 15h01Cette photo est scandaleuse !ROSINE13 a posté le 30 mai 2017 à 13h15n'écoutez pas ces messieurs donneurs de leçons qui n'imaginent pas cet enfer! le syndrome d'hyperémèse gravidique est non exceptionnel au premier trimestre je suis étonnée que vous soyez allée travailler dans cet état effectivement le risque est a la déshydratation et on hospitalise les femmes qui vomissent le plus... sinon ça passe en général en fin de grossesse et ça n'impacte pas le bébé; et non la grossesse n'est pas le nirvana que l'on nous vend!TiM70 a posté le 31 mai 2017 à 08h43Mais qui vend la grossesse comme étant le nirvana ? Cela fait des années qu'il y a des témoignages, des exemples de grossesses difficiles, sans compter les cas qu'on ne peut pas manquer de rencontrer dans son entourage plus ou moins proche. J'ai déjà évoqué une collègue mais j'ai vu d'autres amies, collègues dont les grossesses furent difficiles. Et puis, on pourrait citer Florence Foresti, qui avait, d'ailleurs, été critiquée pour sa description négative de la grossesse dans l'un de ses spectacles... Donc, non, "on" ne vous vend pas la grossesse comme étant le nirvana ; en revanche, oui, certaines femmes font abstraction complète de tous ces aspects négatifs, ne veulent pas les voir et s'auto-convainquent du bonheur intrinsèque de la a posté le 31 mai 2017 à 17h11Je vous remercie beaucoup pour votre message. La teneur de vos propos est tout de même plus conséquente que les commentaires affligeants des hommes qui se sont exprimés. Je vous informe que la situation s'est largement améliorée grâce au Zophren et j'envisage même d'interrompre le traitement pour faire un test. Encore une fois merci pour vos mots bienveillants qui ont tranché avec la bassesse des commentaires précédents. Je vous souhaite une excellente a posté le 30 mai 2017 à 12h56Qu'est ce que ça peut pleurer un fonctionnaire... je plains cet enfant qui va avoir une mère irresponsable et a posté le 30 mai 2017 à 08h25Le corps parle. Vouloir un enfant dans sa tête et le désirer, sont 2 choses distinctes. Permettez-moi de ne pas vous plaindre, j'ai horreur des pleureuses, mais de m'inquiéter à juste titre pour cet enfant à naître, apparemment si mal supporté déjà. En plus vous promettez de ne pas oublier, ça promet, ça a posté le 30 mai 2017 à 08h10""Ma grossesse fabuleuse a été désirée. Mon couple battait déjà de l'aile avant la grossesse."" Mon fils aussi a fait la bêtise de laisser croire qu'avoir une enfant améliorerait la vie de son couple, que nenni 6 mois plus tard ils se séparaient avec en bagage une merveilleuse petite fille à partager. L'expérience des anciens devrait quand même un jour servir à quelque a posté le 30 mai 2017 à 12h57Le Qi baisse de 4 points tous les dix ans en France... donc cela ne risque pas de s'améliorer...livanart a posté le 30 mai 2017 à 15h50Une étude visiblement réalisée sur vous et vos ancêtres D a posté le 31 mai 2017 à 17h32Je suis désolée pour votre situation familiale monsieur mais il me semble que vous vous êtes autorisé un raccourci un peu hâtif en comparant mon histoire avec celle de votre fils. Vous devez être encore très énervé par la situation. Courage !Cloelangue a posté le 31 mai 2017 à 17h34Alice présidente Cloelangue a posté le 31 mai 2017 à 17h36Les femmes dans votre entourage doivent être épanouies à vos côtés Monsieur Plume... Si vous avez besoin de parler, je suis là pau5864 a posté le 30 mai 2017 à 07h47Quelqu'un a un kleenex ?Cloelangue a posté le 31 mai 2017 à 17h33Comme il est bon de voir que mon lectorat est sensible Bien à vous,paulinemetais a posté le 29 mai 2017 à 22h40Les témoignages sur le sujets sont rares! Pour moi cela s'est arrêté vers 4mois et demi, je me souviens de ce jour où je me suis dis maintenant ça va mieux je me sens d'aller jusqu'au bout, c'était enfin devenu "vivable". Car jusqu'alors je me disais que l'un de nous 2 allait y rester... Effectivement 3 ans ça laisse un mauvaise souvenir mais je n'y repense plus, sauf quand j'imagine un 2ème, ça refroidit net !! La suite m'a réservé d'autres surprises et au final l'accouchement c'est ce merveilleux moment où, le bébé sur le ventre, tu te dis "j'ai réussi..."TiM70 a posté le 29 mai 2017 à 21h00C'est un moment désagréable mais des grosses pénibles, difficiles, ce n'est quand même pas un scoop... Certaines se déroulent tranquilles, d'autres noms. J'ai eu une collègue qui a du passer 6 à 7 mois allongée... Personne de sérieux n'a jamais prétendu que toutes les grossesses étaient un état de grâce...Cloelangue a posté le 31 mai 2017 à 17h42Je vous rejoins monsieur, ce n'est pas un scoop comme vous dites. Néanmoins, les témoignages sont peu nombreux et peuvent apporter un soutien à beaucoup de femmes qui se sentent alors moins seules. Votre collègue a dû beaucoup souffrir et il serait intéressant de savoir si cette personne aurait osé se prononcer sur un sujet tel que le cancer de la prostate par exemple, en commentant que la douleur occasionnée par cette maladie n'est pas un scoop et tout en sachant qu'elle ne passerait jamais pas cette épreuve. Je suis certaine que vous auriez bien accueilli ce genre de remarque Komsomol a posté le 29 mai 2017 à 18h28Consolez-vous chez les éléphantes , la grossesse dure 22 mois. Comme disait ma grand-mère, y'a toujours plus malheureux!Ouis a posté le 29 mai 2017 à 17h48Autour de moi, à commencer par la mère de mes enfants, j'ai moult fois entendu dire que la grossesse n'est en rien un état de grâce et d'épanouissement mais plutôt une punition nécessaire à la procréation. Donc bon courage à vous ! D'autre part, et sur le mode plaisant et non de reproche, l'émoi ressenti par le présentateur ou la présentatrice de l'article est tel qu'il ou elle écrivit "Son corps a dû mal à accepter ce nouvel état" au lieu de "Son corps a dû mal accepter ce nouvel état" ou, plutôt, "Son corps a du mal à accepter ce nouvel état". Voilà, j'ai mon dû en matière orthographique !PierrrrrePierrrrre a posté le 29 mai 2017 à 17h40 enceinte de trois mois. » ► A peine 3 mois? Et pourtant, la photo sous péridurale du foetus recroquevillé, photo publiée dans l'article, présente un bébé déjà énorme... . 41 234 393 170 370 161 107 494